Photos

« SOLDATS DANS LA GUERRE D'ALGERIE »
(extraits)

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 08-06-1959 - Le pont Gustavin, avec l’Oued Sebaou en vue. Ce pont permettait l’accès à la
rive Nord du Sebaou depuis la N12 (Alger-Tizi Ouzou.) Photo : Michel Colmant. (77e Bataillon du
Génie). (page 65)


23 mars 1959 - Création d’une piste pour se rendre sur le piton de Béni-Ouarzeddine,
comme cela se passe dans de nombreux sites, le Bull HD 15 au travail (77e Bataillon du Génie, 2e
compagnie.) Photo : Michel Colmant. (page 67)


29-06-1959 -Une chaîne de montage à l’usine « Berliet » de Rouiba. Photo : Michel
Colmant. (page 70)


1959 - 1960 - Hassi- Messaoud - Deux torchères la nuit. Photo : Gaston Daniel. (page 71)


1962 - Une photo-souvenir comme on en voit dans la plupart des classes de France. Il
s’agit des élèves de notre école sur le piton de Beni-Ouarzeddine, dans le Sidi-Ali-Bou-Nab, près de
Camp du Maréchal. Je faisais le CM1-CM2. Photo : A. Etienne. (page 110)


Le vrai sens du 19 mars 1962 :  La signature des accords d’Evian signalant une fin prochaine des combats, la fête de la victoire du FLN et l’annonce de l’Indépendance du pays. Photo: Gérard Thiry. (page111)


12-07 1961 - Il était environ 13 heures et la « Banane » qui apparaît au 2e plan nous avait
permis de quitter dans des conditions optimales, la fournaise de la cuvette dans laquelle venait de se
dérouler l’accrochage. Ce combat s’était soldé par 22 morts et 3 blessés dont l’un mourra trois jours
 plus tard à l’hôpital de Souk-Arhas.(récit pages121 à 128).
Photo du Docteur Jean Boyadjian. Médecin-Lieutenant au 8ème spahi, puis au 4è RCA.


1956 - Région de Palestro. Le commando 6, mais le chiffre porte-bonheur du lieutenant
était le sept, aussi nous l’avions baptisé « le commando 7 ». Photo Fernand Falchier. (page151)


Nuit du 27 au 28 novembre 1960 - Bordj de Sakiet - Les restes d’un poste après
l’offensive FLN à la frontière tunisienne. L’infirmerie après le bombardement du poste par les fells
venant de Tunisie. Par ce harcèlement général, sur les cinquante soldats du poste, il en restait une
douzaine de valides. Et c’est là que j’ai été blessé : gazé (roquette au phosphore), il n’y avait pas de
masque à gaz, ni de protection spéciale ; je devins complètement sourd. Début 1961, j’ai eu deux
greffes aux tympans au Val de Grâce. Depuis j’ai retrouvé un peu l’audition, mais c’est très irrégulier.
Je devins aveugle complet durant un mois, avec un retour progressif à 3/10e. J’étais au repos au
moment de l’attaque. Photo : Claude Bourdin. (page 240)


Le 25 juin 1962 à 17h45 - Les réservoirs de Mazout de la British-Petroleum furent
plastiqués et cinquante millions de litres de carburant brûlent. Les flammes s’élèvent à plus de 100
mètres au-dessus de la ville. Pendant plusieurs heures, l’énorme nuage couleur d’encre qui se déploie
jusqu’à Mers-el-Kébir recouvre Oran d’un voile crépusculaire. Photo : Roger Carré. (page 266)


1960-1961 - Près d’Ouargla - Nous rendons visite à un campement de nomades. Ils sont
pauvres et nous leur offrons quelques victuailles. Ils étaient accueillants et nous offraient aisément un
thé. Nous aimions converser avec les gens du pays. Photo : Gaston Daniel. (page 322)


1960-1961 - Ouargla - Dans la froide société mécaniste, affairiste et mondialisée, l’homme n’a-t-il pas besoin d’un peu plus de chaleur, de se retrouver face à lui-même pour se ressourcer, comme ce palmier-dattier qui retrouve par ses racines le substrat de son existence et par sa tête toute l’énergie nécessaire ? Photo Gaston Daniel. (page 328)


25.09.2001 - A Amboise, près de Tours. Journée nationale du souvenir pour les harkis
victimes de la barbarie FLN après le 19 mars 1962. Cette vue est prise devant le mémorial de
l’Aurès en hommage aux harkis mort pour la France. Ce Mémorial fut édifié pour la mémoire et
l’Histoire. Photo : Paul Ziajko. (page 365)


25.09.2001- Amboise - Journée nationale du souvenir. De gauche à droite : ? ; je retrouve
l’aspirant Chastagnol 42 ans après, tout comme Assassi Mohamed ( homme du groupe au 10e B.C.P.) ;
Paul Ziajko et Messaoudi Messaoud (homme de la 4e section du 10e B.C.P.). Nous avions des souvenirs
communs et je connaissais leur village. De toute la harka, il n’est resté que deux survivants, les autres
ont été massacrés avec toutes les horreurs que l’on connaît. Photo : Paul Ziajko. (page 365)

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